tijo90

Souris à la vie et elle te sourira !!!

Vendredi 8 mai 2009 à 11:36

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Connaissez-vous cette enfant qui pleure
Car on a éteind la flamme de son coeur
Réduisant en cendre son intime fleur
Effaçant de ses yeux toutes les couleurs
Dans son regardseule domine la peur
Unique vestige de toutes ces horreurs
Même son coeur est meurtri de douleurs
Infligées par ses boureaux / violeurs...

Souillée, elle ne pourra jamais oublier
La nuit ou elle a éé cassée et brisée
Ses rêves ne sont plus que ruines enflammées
Faisant disparaître ses désirs avortés
Survivre est une lutte contre l'humanité
Les miroirs sont des couteaux acérés
La rappelant aux souvenirs de ces atrocitées
Rien, ni même la mort ne peut la sauver...

Dans un monde de nuit éternelle
Il faut faire régner un slence irréel
Car sa vie ne sera plus jamais pareille
Un cauchemare éveillé tellement cuel
La terreur l'emprisonne à chaque ruelle
Tel un poison acide s'insinuant en elle
Personne ne peut soigner ses séquelles
La honte d'être victime malgré elle...


Par La Loveuse le Samedi 9 mai 2009 à 21:27
Encore une fois un très beau poème, même si le sujet à été parcouru en long en large et en travers maintes fois déjà, tu arrive à donner encore de la nouveauté à ce terrible fait... Bravo ;) bisous je t'adore ma sucrette !
Par Ton z"homme (encore lui ^^" ) le Mercredi 13 mai 2009 à 20:54
ce poème me rappelle beaucoup ce texte de kiemsa dont je te parlais:

"

Sans un bruit. Sans un mot. Mes nuits. Mes sanglots.
Sans un regard. Sans un mot. Mon histoire. Mon ego.
Voleur de chance, voleur d´enfance. Voleur de rêves et de mon insouciance.
Alors j´ai pensé très fort, que tu étais mort, j´ai rêvé ma vie, douceur et folie,
Moments de bonheur, moments de chaleur, n´avoir jamais d´heure et ne pas avoir peur,
Croire au père noël, et aux oufs de pâques, à la petite souris et sauter dans les flaques,
M´ennuyer. Ne rien faire. Sans un mot.

Tu n´avais pas le droit, je n´avais pas le choix
Tu n´avais pas de voix.
Tu n´avais pas le droit, je n´avais pas le choix
Tu n´avais pas de voix.
Sans un mot.

Des pleurs et des cris. Le grincement du lit.
Douleur et mépris, parfum de la vie, des heures sans répit, sensation d´agonie
Fermer les yeux, faire taire son cour, pétri de douleur par tes mains supérieures.

Le mal est fait la cicatrice est profonde.
Tu m´as pincé le nez et ouvert la bouche
Sali sans un mot, jeté dans la douche
Et pourtant, il a fallu que j´y arrive
Que j´oublie ma jeunesse et cette histoire nocive
Que j´apprenne à rire, que j´apprenne à sourire
Que je pense à l´avenir et au bonheur à offrir
Je réaliserai mes rêves. Je réaliserai mes rêves.
Pour que tu en crèves !

Tu n´avais pas le droit, je n´avais pas le choix
Tu n´avais pas de voix.
Tu n´avais pas le droit, je n´avais pas le choix
Tu n´avais pas de voix.
Sans un mot. "


Sublime mais toujours aussi lugubre ton univers =S
Par Ton z"homme (encore lui ^^" ) le Mercredi 13 mai 2009 à 20:54
ce poème me rappelle beaucoup ce texte de kiemsa dont je te parlais:

"

Sans un bruit. Sans un mot. Mes nuits. Mes sanglots.
Sans un regard. Sans un mot. Mon histoire. Mon ego.
Voleur de chance, voleur d´enfance. Voleur de rêves et de mon insouciance.
Alors j´ai pensé très fort, que tu étais mort, j´ai rêvé ma vie, douceur et folie,
Moments de bonheur, moments de chaleur, n´avoir jamais d´heure et ne pas avoir peur,
Croire au père noël, et aux oufs de pâques, à la petite souris et sauter dans les flaques,
M´ennuyer. Ne rien faire. Sans un mot.

Tu n´avais pas le droit, je n´avais pas le choix
Tu n´avais pas de voix.
Tu n´avais pas le droit, je n´avais pas le choix
Tu n´avais pas de voix.
Sans un mot.

Des pleurs et des cris. Le grincement du lit.
Douleur et mépris, parfum de la vie, des heures sans répit, sensation d´agonie
Fermer les yeux, faire taire son cour, pétri de douleur par tes mains supérieures.

Le mal est fait la cicatrice est profonde.
Tu m´as pincé le nez et ouvert la bouche
Sali sans un mot, jeté dans la douche
Et pourtant, il a fallu que j´y arrive
Que j´oublie ma jeunesse et cette histoire nocive
Que j´apprenne à rire, que j´apprenne à sourire
Que je pense à l´avenir et au bonheur à offrir
Je réaliserai mes rêves. Je réaliserai mes rêves.
Pour que tu en crèves !

Tu n´avais pas le droit, je n´avais pas le choix
Tu n´avais pas de voix.
Tu n´avais pas le droit, je n´avais pas le choix
Tu n´avais pas de voix.
Sans un mot. "


Sublime mais toujours aussi lugubre ton univers =S
 

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