tijo90

Souris à la vie et elle te sourira !!!

Il doit lui dire !!!

Vendredi 4 avril 2008 à 23:29


Il doit lui dire
Ne surtout pas fuir
La honte le submerge
Et ses idées gambergent
Son coeur s'embale
Bon dieu que ça fait mal
Tout son corps frissonne
Mais la peur l'emprisonne
Il doit lui avouer.....
Comment lui annoncer ?
Va-t-elle s'en aller ?
Et le laisser tomber ?
Il a confiance en elle
Mais les doutes se mèlent
Quelle sera sa réaction ?
Quelle est la solution ?
Sera-t-elle à la hauteur
Pous apaiser ses peurs ?





Test positif, la vie est dûre !!!!!

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Une belle folie !!!

Vendredi 21 mars 2008 à 12:13

 
Mes larmes de sang n'apaisent pas ma haine...
Mes cries de SOS ne brisent pas cette chaine...
Ma rage et ma colère ne calment pas ma peine...
Tel un monstre ce mal me ronge...
Ces quelques heures hantent mes songes...
Une horreur cachée derrière un mensonge...
Tu es parti tu t'es enfui loin d'ici...
Tu m'as menti tu m'as trahit et meurtri...
Tu m'as sali et tu as piétiné ma vie...
Au creux de mon être brûle une flamme...
Cette douleur qui assaille mon âme...
Une érreur impardonnable et infame...
J'essaie d'oublier mais encore aujourd'hui...
Je porte les stigmates de cette nuit...
Je me souviens de celle qui s'est enfuit...
Même l'eau ne peut éffacer les traces...
Ni le souvenir de cette folie qui me tracasse...
Malgré le temps qui passe rien ne s'éfface......

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Entre rire et larme !!!!!

Mardi 4 mars 2008 à 13:16


Entre rire et larme
Mon coeur danse la valse
Entre désire et obligation
Ma tête perd ses raisons
Entre amour et peur
Mon âme cherche sa fleur
Entre feu et glace
Mon corps recherche sa place
Entre famille et amis
Ma vie tombe dans l'oublie
Entre future et passé
Mon esprit n'a pas de paix
Entre lutte et massacre
Mon sang forme une flaque
Entre souvenir et avenir
Mes choix pourraient être pire
Entre espoir et désespoir
Mes yeux broient du noir.

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Tel un couteau !!!!!

Lundi 4 février 2008 à 12:57

 
Tel un couteau
aussi dur que de la glace
me déchire le coeur,
Tel un couteau
ces mots me font mal
et détruisent mon âme,
Tel un couteau
ils cassent mes rêves
et brisent mes espérences,
Tel un couteau
ils cisaillent mes désirs
et me font douter de ma vie,
Tel un couteau
le voile noir retombe
sur mes yeux éffrayés,
Tel un couteau
laissant un troue béan
au creu de mon être,
Tel un couteau
ils ruinent ma carapace
et forment une plaie,
Tel un couteau
ils me laissent sans vie
sans désire ni envie,
Tel un couteau
mon coeur saigne
d'un mal incurable,
Tel un couteau
la douleur me brise
la plaie reste ouverte,
Tel un couteau
mon âme est éffrayé
par cette lame tranchante,
Tel un couteau
il ne me reste plu que mes yeux
pour pleurer une vie que je n'ai pas eut,
Tel un couteau
aussi brillant que l'argent
entouré d'une mare de sang,
Tel un couteau
mes larmes se reflèttent
sur la lame éguissé,
Tel un couteau
ces mots me déchire le coeur
tel est le pouvoir des mots
Tel un couteau.....
Une blessure extérieur fait mal, mais beaucoup moins que la blessure intérieure.
La blessure du corps finit toujours par guérir, mais celle de l'âme ne guérit jamais.
Bien sur, avec le temps elle devient moins douloureuse et devient une cicatrice, mais toujours prête à s'ouvrir.
Et à chaque fois c'est comme recevoir un coup de couteau dans le coeur et même si cette blessure te vide de ton sang ou de tes larmes, tu restes à jamais marqués.

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Pauvre fille innocente ...

Lundi 10 décembre 2007 à 8:38

 
J'ai croisé sa soeur,
Eclatante de bonheur,
Jeune fille plein de vie,
Qui combat ses ennuis,
La même peau blanche,
Les mains sur les hanches,
Comme quant il m'attendait,
Au coin de cette allée,
Un petit sourire identique,
A la fois timide et magnifique,
La même voix de velour,
Que celle de mon amour,
A transpersé mon couer,
Rempli de terreur,
Pour m'emmener jusqu'au ciel,
La ou la vie est si belle,
Nos regards se sont croisés,
Et tous mes souvenirs passés,
Ont explosé dans ma tête,
Comme s'ils fesaient la fête,
Tel un film qui défile,
J'ai revu mes teize ans débile,
D'avoir aimé un homme,
Qui nétait pas en forme,
Et qui m'a dit Adieux,
Pour rejoindre les cieux,
Et pendant un court instant,
Ja me suis vue espérant,
Qu'elle lui donne sa vie,
Pour éffacer tous ce gachi,
Une pensée dégeulasse,
Qu' elle chute à sa place,
Pauvre jeune fille innocente,
Victime de mes pensées blessantes.
Pourras-tu me pardonner,
D'avoir eut cette fugasse pensée ?

Suis-je un monstre d'avoir voulu qu'elle renonce ?
Suis-je si égoïste d'avoir voulu retrouver mon ami à n'importe quel prix ?
Comment ai-je pu pensée une chose si horrible?
Comment ???
Comment ???
Comment ???

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