tijo90

Souris à la vie et elle te sourira !!!

Dimanche 17 juin 2007 à 14:02

Il aimait la mort et ses sombres promesses, avenir incertain d'un garçon en tresse, il voulait mourir, laissait partir sa peine, oublier tout ces jours à la me rengaine...

Elle aimait la vie, heureuse d'exister, voulait aider les gens et puis grandir en paix, ctait un don du ciel, toujours souriante, fleurs et nature qu'il pleuve ou qu'il vente.

Mais un beau jour, la chute commea.
I
ls tombèrent amoureux, mauvais choix...
Elle aimait la vie, il aimait la mort.
Q
ui d'entre eux aller être le plus fort?

Ils s'aimaient tellement, ils auraient tout sacrifier, amis et familles, capables de tout renier, tout donner pour s'aimer, tel était leur or!


M
ais elle aimait la vie, il aimait la mort.
Si différent et pourtant plus proche que tout, se comprenant pour protéger un amour fou, l'un ne rêvait que de mourir et de s'envoler. L'autre d une vie avec lui, loin des atrocités...

Fin de l'histoire : obliger de se séparer, ils s'étaient promis leur éternelle fidelité. Aujourd'hui, le garçon torturé vit pour elle.
Puisque la fille, pour lui, a rendu ses ailes...
Il aimait la mort
elle aimait la vie...
il vivait pour elle, elle est morte pour lui
Shakespear



"fair nimps pr la fille ou le mec kon aime c sa lamour kit a i perde la seul otre chose con aime"
jsui ds ma tit passe romantik

Dimanche 10 juin 2007 à 15:50

Quand la vie te dégoute
Quand la chaleur du soleil ne te réchauffe plu
Quand la pénonbre t'éffraye
Quand le sourir de tes proches n'appaise plu ton coeur
Quand tes larmes ne soignent plu tes plaies
Quand la solitude te fait peur
Q
uand les larmes aux yeux tu avances
Q
uand tes pensés sont trop sombre
Q
uand les étoiles ont disparu de tes yeux
Quand la flamme de ton coeur s'éteind
Q
uand tes proches ne te comprennent plu
Q
uand parler n'arrange pas les choses
Quand les mots transpercent ton coeur sans sortir
Quand courir ne calme pas ta colère
Quand l'envie de ne rien faire est la plus forte
Quand tes cris de SOS ne sont pas entendu
Quand tu ne te sent plu chez toi
Q
uand ton coeur à le vertige
Quand tes sentiments s'embrouillent
Q
uand ton corps a froid
Quand ta envie de gerber la vie.



V
iens me voir, je t'écouterais
.



la foto é tiré 2 ce blog, allé le voir lé foto son vrémen tro bien, pr voir le blog cliqué ICI

Mardi 22 mai 2007 à 18:29

Quand la colère s'en va que nous reste t-il ?
Un peu d'incompréhension et quelques larmes ?
L
e coeur épuisé par toute ces émotions,
Les yeux noircis par de nombreuses nuit blanche,
L
es yeux rougis par les larmes dusespoir,
Le
coeur en miette par tes paroles blessantes;
J
e continue à avancer dans la vie,
Je
garde espoir même si le coeur ni est plu,
Je
cache mon triste visage derrière un masque,
Je
protège mon coeur derrière un mur de pierre;
Tes paroles mêttent mon âme à feu et à sang,
Te
s regards me blessent dans mon amour propre,
Tes silences me disent que tu me détestes,
T
es gestes laissent des marques rouges sur mon corps;
J'aur
ais tout donné juste pour que l'on s'entende bien,
Mais
cela n'a pa duré longtemps et je suis déçu,
J
'en ai pourtant réver pendant lontemps,
Mais
voila tout est fini tout est cassé,
Je
tiendrais ma promesse,
Ma
is je penserais à toi,
Je
te fais confiance,
Mais pas toi.

Lundi 21 mai 2007 à 19:36

l'argent kel bel conneri sa transforme lé gens, just pr d morço 2 papier ils son capable de blesser lé pers ki lé entour, jtrouve sa dégueulasse. "+ il on dargen + il en veule" é il son pré a tou,é moi sa me soule é sa me fai mal ke lé gens soi ossi matèrialiste. jtrouve sa d'1 tristesse infini.... Je croi ke François MAURIAC (pr ce ki ne connaisse pa "vs ête inculte" c 1 écrivain françai tré célèbre) a tré bi1 compri ke largen transformé lé gen en écrivan Le Noeud de vipères pck il décri tré bi1 la tranformation é la soufrence ke cela provoke sur l'entourage. 2 + je trouve kil montre bi1 ke largen ne ser a ri1 kel ne ren pa heureu ke cela détrui la vie, lé famille, déchir lé couple, lé frère, lé soeur, lé ami. Il montre ke le bonheur na pa 2 prix kil y a d chose ds la vi ki ne s'acte pa com la famille, ami, l'amour, la joi, larme, la tristesse é encor l'amour, L'AMOUR c t1 sentimen ki na pa 2 prix. Et mêm si on malin ac no basket a 100 euro ou mêm no froke a 50 euro ou no portable il ne fo surtou pa kon oubli ke le + importan c dêtre heureu car + tar kan on sera vieu on riske 2 le regrété é 2 morir seul com "louis" dan Le Noeud de vipère il a vécu avar é seul é il va mourir triste é seul, c tro tro tro tro tro tro tro triste.

"Alor c just 1 conseil é vs en faite ske vs voulé mé jvs conseil darrété vo conneri pck sinon vs perdré tou ce ki vs aime é ke vs aimé."

Dimanche 20 mai 2007 à 10:24

Toi qui me manque tant,
Toi qui m'étais plus chère que ma propre famille,
Toi qui est parti si loin de moi de ce monde,
Toi qui t'es battu jusqu'au bout,
Toi qu'un petit monstre m'a enlevé,
Toi qui en un regard lisais en moi comme dans un livre ouvert,
Toi qui étais plus qu'un ami ou même qu'un frère,
Toi qui m'a appri à aimer les petits bonheurs de la vie,
Toi à qui le temps a manqué,
Toi qui est parti si jeune,
Toi qui me laisse seul le coeur brisé,
Toi qui illuminais ma vie,
Toi que j'ai enfermé dans une boite que je n'ai jamais rouverte,
Toi que je ne suis jamais aller voir,
Toi qui me fesais oublier mes peines et mes peurs,
Toi qui séchais mes larmes et apaisais mon coeur,
Toi qui aimais la caresse du vent et du soleil,
Toi qui fus emporté trop vite,
Toi que j'aimais tant.

A toi, Axel, qui est la haut.

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